Carte journalière dégriffée

Nouvelle carte journalière dégriffée

La carte journalière dégriffée Commune est une nouvelle offre contingentée, disponible exclusivement auprès des administrations des communes et des villes. Elle remplace l’ancienne carte journalière Commune.

Avec la carte journalière dégriffée Commune, les personnes voyagent une journée entière dans toute la Suisse à partir de 39 francs (avec un abonnement demi-tarif) ou de 52 francs (sans demi-tarif), dans le rayon de validité de l’AG. De plus, la carte journalière dégriffée est proposée pour la 1re et la 2e classe. Plus les clients achètent leur carte à l’avance, plus le prix est bas.

1er jour de vente : 11 décembre 2023

Les cartes journalières dégriffées Commune sont disponibles à partir du 11 décembre 2023. La première date de voyage possible est le 1er janvier 2024.

Un guide sur le Shop cartes journalières dégriffées est disponible à l’intention des communes et des villes inscrites. Il contient notamment des instructions pour la vente, le remboursement et la réimpression.

Liens utiles

Site internet CFF

Nouveau canal de vente « Shop cartes journalières dégriffées »

Toutes les communes et les villes ont accès au même contingent valable pour toute la Suisse via l’application web centralisée «Shop cartes journalières dégriffées». Une fois le contingent épuisé, il n’est plus possible d’acheter une carte journalière dégriffée Commune pour la date de voyage souhaitée et la classe ou le segment (avec ou sans demi-tarif) en question auprès d’une autre commune ou ville. Par ailleurs, la carte journalière dégriffée Commune peut être vendue à toute personne et pas uniquement aux habitants de la commune ou de la ville.

Information importante

En raison du fait que l’administration communale est ouverte moins de 10 heures par semaine, le Conseil communal a décidé, durant l’année 2024, de ne pas s’inscrire auprès des CFF pour la délivrance des cartes journalières dégriffées. Les habitants de la commune ont tout loisir de s’adresser auprès des communes avoisinantes. En fonction de la demande, le Conseil communal pourrait revoir sa prise de position dès l’année 2025.